Astre rêvé
Astre rêvé dans le désastre
des cieux volants.
Lis ces rancœurs des moniales,
unies vers des monuments,
tel un soulagement filant à l’air qui passe,
vers tassés au creux de ma mémoire.
L’air d’une vague dite intemporelle
qui déjeune de rituels.
La chair dans l’encre du silence perdu,
quitte la cage qui n’est d’aucune marge.
©Jamila Abitar
in L’aube sous les dunes